sang pour sang - Jean Marigny
le réveil des vampiers
KORTE INHOUD
Le point de vue de l'éditeur. L'Antiquité eut ses divinités assoiffées, le Moyen Age ses pervers sanguinaires. Au XVe siècle, l'Eglise immortalisa les morts-vivants en les reconnaissant. Le vampire avait maintenant droit de cité. Trois siècles plus tard, en pleine raison triomphante, la psychose est générale. Le vampie est connu, décrit : un "revenant en corps", réfractaire à la croix, éventuellement à l'ail ... Le théatre de la terreur est posé. La littérature romantique va le consacrer, avec, dans le rôle du saigneur, Dracula, de Bram Stoker. Un siècle plus tard, le cinéma lui donne corps, dans tout l'achèvement de sa terrible splendeur. Jean Marigny traque cette figure polymorphe dans les lieux mêmes ou elle se réfugie : la nuit, la mort, le temps perdu.